Accueil > Les enfants vous racontent... > Nos archives > 2013-2014 > Des scientifiques malaisiens dans notre école !

Des scientifiques malaisiens dans notre école !

Publication : (actualisé le ) par Cazalas MP.

Lundi 23 septembre, un groupe de Malaisiens est venu dans notre classe pour voir notre travail...

La Malaisie se trouve en Asie au sud de la Thaïlande. C’est une île. Sa capitale est Kuala Lumpur. Il y a 29 millions d’habitants. Ils parlent le malaisien.

Voici nos articles sur cet événement :

YANIS a écrit :

Lundi 23 septembre, jour de mon anniversaire, des scientifiques malaisiens sont venus dans notre classe accompagnés de Fabrice Krot, le directeur de la maison des sciences. Il y a souvent des séismes dans les zones de montagne et les séismes se forment quand les plaques se rencontrent. Les scientifiques auraient du aller au collège mais ils n’étaient pas disponibles du coup, ils sont venus dans notre école. Les scientifiques malaisiens ont pris plein de photos de nous et de notre travail. A la fin, on a tous posé pour une grande photo avec tout le monde.
J’ai bien aimé quand les scientifiques sont arrivés. C’est magique quand même, ils sont venus de Malaisie !

Corentin : "ce sont les Malaisiens dans notre classe".

Aà DA

Le lundi 23 septembre, des scientifiques malaisiens sont allés visiter la maison des sciences. Ils sont ensuite venus nous voir avec le directeur Fabrice Krot. Nous avons travaillé sur les séismes. Fabrice nous a demandé de mesurer la puissance d’un tremblement de terre. Il nous a donné une bande de papier avec un feutre. On a créé un sismographe.

ARYLES

Lundi 23 septembre, des scientifiques Malaisiens sont venus à la maison des sciences voir Fabrice Krot. Ils devaient aller au collège voir des élèves mais leur professeur avait un empêchement donc ils sont venus nous voir travailler sur les séismes .On a appris que quand les plaques se rencontrent ça fait des tremblements de terre. Pour notre deuxième leçon, on a essayé de construire un sismographe. A la fin, certains élèves ont parlé avec eux en anglais et ils ont pris des photos. Moi j’ai bien aimé cet après midi parce que j’ aime bien travailler sur les séismes.

Jawda : "la Malaisie est de l’autre côté de la Terre par rapport à nous".

CLAUDE

Le lundi 23 septembre, des scientifiques malaisiens qui étaient à la maison des sciences pour voir Fabrice et pour apprendre comment on travaille en France. Normalement, ils devaient aller au collège sauf que le professeur était absent alors ils sont venus dans notre école. Fabrice nous a parlé des séismes. Il voulait qu’on mesure les séismes. On a fabriqué un sismographe qui sert à mesurer la puissance des tremblements de terre. Quand il n’y a pas de séisme, ça fait une droite sur le papier. Mais quand on remue la table comme s’il y avait un séisme alors le trait va en haut et en bas comme des montagnes hautes. Quand on a fabriqué le sismographe, quelqu’un tenait le stylo sur le papier et quelqu’un bougeait la table. Alors le feutre laissait un trait sur la bande et on savait si le séisme était très fort ou plutôt tranquille.
A la fin, on a parlé anglais pour savoir comment ils s’appelaient et on a fait une grande photo de groupe.
Mon avis sur cet après midi, c’est que c’était très bien car ça m’a plu de bouger les tables.

Mélissa : "on a créé un sismographe. Deux élèves secouaient la table pour simuler un séisme".

CORENTIN

Lundi 23 septembre, des scientifiques malaisiens sont arrivés dans notre classe pour regarder commet on travaillait les sciences. Ils voulaient surtout voir le directeur de la maison des sciences Fabrice Krot. Nous avons travaillé sur les séismes. Fabrice nous a demandé de garder la trace d’un séisme et mesurer la puissance d’un tremblement de terre. Avec une bande et un feutre, nous avons imaginé un sismographe. On a posé la bande sur la table et on a mis un feutre sur la feuille de papier. Pour simuler un séisme, on a bougé la table. Quand le séisme n’est pas fort, le trait est droit et quand c’est fort, ça fait de grands pics sur le rouleau. On a observé que les volcans et les séismes se manifestent souvent à l’endroit où les plaques se rencontrent. Le premier sismographe a été fabriqué en Chine. Le sismographe est utilisé quand deux plaques terrestres se frottent et une passe au dessus ou au dessous de l’autre. En Indonésie, il y a eu un énorme séisme suivi d’un grand tsunami.
Ça m’a beaucoup plu de travailler avec ces visiteurs de Malaisie et en plus on a appris plein de choses.

Rabiaa : "Ceci est un sismographe. C’est un appareil qui mesure les séismes".

FODYE

Le lundi 23 septembre, des scientifiques malaisiens sont venus dans notre école. Au départ, ils devaient aller dans une classe où il y a des collégiens mais leur professeur avait organisé d’autres projets. Alors ils ont décidé de venir dans notre classe. Devant eux, nous avons travaillé sur les séismes. On a appris que les tremblements de terre et les volcans se manifestent là où deux plaques se rencontrent. Fabrice nous a demandé de construire une machine qui mesure la puissance des séismes. Nous avons travaillé sur une machine qui s’appelle un sismographe. Il suffit de prendre un crayon, de l’accrocher à une ficelle et de le poser au dessus d’un rouleau de papier qui se déroule. Il faut que le feutre touche la feuille. Ensuite, on fait bouger la table. Plus il y aura de tremblements, plus le sismographe aura de pics.
Les scientifiques ont pris des photos quand on simulait un séisme. Moi, j’ai beaucoup aimé cette expérience car ça m’a plu de manipuler des choses.

Sanjiv : "Ce sont les Malaisiens".

JAWDA

Lundi 23 septembre, on a reçu des malaisiens venus de très loin qui sont scientifiques et qui sont venus dans notre classe pour voir notre travail.
Avec Fabrice, on a travaillé sur les séismes, comment ça se fait. Après on a pris un rouleau de papier et un bâton qu’on a mis dans le trou du rouleau. On a déroulé le rouleau petit à petit et une personne tenait un stylo qu’on avait accroché à une ficelle. Une autre personne faisait bouger la table et ça faisait penser à un séisme. Alors le stylo laissait une trace sur le papier, agitée quand la table était secouée très fort.
Les visiteurs sont venus pour nous voir en train de travailler et ils nous ont pris en photo.
Ce qui m’a beaucoup plu, c’est de travailler sur le sismographe parce qu’on a appris comment ça marche. Et puis, j’étais contente de rencontrer des malaisiens.

Tidyane : "c’est un sismographe"

MELISSA

Lundi 23 septembre, des scientifiques malaisiens sont venus voir la maison des sciences pour voir comment travaille Fabrice Krot. Ils sont venus dans notre classe. On avait déjà fait une première leçon sur les séismes. On avait étudié des cartes où se passent des tremblements de terre et où des plaques se rencontrent. Pour la deuxième leçon avec Fabrice, on a créé un sismographe avec un crayon, un fil et un rouleau de papier. Le crayon était au bout du fil suspendu au dessus de la feuille. Deux élèves déroulaient le papier et d’autres secouaient la table pour simuler un séisme. Sur le papier, il y avait comme des montagnes.
Cette expérience m’a beaucoup plu car elle était intéressante et drôle. Les visiteurs malaisiens ont tous pris des photos à la fin de notre cours.

Rachel : "c’est la maîtresse à son bureau".

RACHEL

Fabrice Krot est venu avec des scientifiques qui étaient Malaisiens. Ils étaient de Malaisie et ils sont venus de très loin pour visiter la maison des sciences et pour discuter avec Fabrice. Ils sont tous venus dans notre classe pour faire une leçon sur les séismes. En premier, on avait appris que les séismes et les volcans se trouvent à l’endroit où les plaques se rencontrent. Comment mesurer la puissance des séismes ? D’abord on a pris un rouleau de papier, un petit bâton et un feutre. Puis on a installé la machine et on l’a mise en marche. Quand on fait bouger la table, on voit que les tremblements font faire des grabouillis sur le papier.
Moi, mon avis c’est que j’ai aimé que les Malaisiens nous regardent travailler sur les séismes et à la fin, j’ai adoré prendre une photo avec tout le monde.

Wania : "c’est un sismogramme".

SAMY

Le lundi 23 septembre, des scientifiques Malaisiens sont venus nous regarder travailler pour la maison des sciences avec Fabrice Krot. Ce jour là , Mr. Krot est venu nous expliquer comment se formaient les séismes et comprendre comment les plaques se rencontrent. Nous avons fait un exercice .Le but de l’exercice était de trouver un moyen de mesurer la puissance d’un tremblement de terre. Ensuite, nous avons eu une idée qui était de fabriquer un sismographe et nous avons atteint notre but. A la fin de la séance, les scientifiques ont pris des photos de nous. J’ai bien aimé la séance parce que j’ai manipulé des choses avec Fabrice Krot.

Yahia : "Mon dessin représente la Terre et son écorce. Deux plaques de l’écorce terrestre se rencontrent et produisent un séisme".

INES
Lundi 23 septembre, des scientifiques malaisiens sont venus pour rencontrer Fabrice Krot, le directeur de la maison des sciences.
Ils voulaient voir travailler des élèves français et sont venus dans notre classe. Avant qu’ils ne viennent, nous avions appris que les séismes se manifestent à l’endroit où les plaques se rencontrent. Lorsqu’ils sont arrivés, nous avons commencé à imaginer des machines qui peuvent mesurer l’amplitude des séismes sur notre cahier. Une élève a eu l’idée d’un appareil qui mesure un séisme en retraçant le tremblement. Fabrice a distribué des rouleaux de papier, des feutres et des bouts de ficelle. Deux élèves devaient bouger la table, un autre avait un feutre au bout de la ficelle et devait rester immobile au dessus de la bande de papier. A la fin, nous avons constaté que quand il y avait des séismes, le feutre faisait des tracés très sinueux sur la bande de papier.
J’ai beaucoup aimé cette séance très enrichissante car nous avons trouvé par nous même comment fabriquer un sismographe et parce que j’ai appris beaucoup de choses sur les séismes.

Inès et Isabelle : "Nous avons fabriqué un sismographe à partir d’un rouleau de papier, d’un feutre et d’une ficelle. Une personne bougeait la table pendant qu’une autre tenait le feutre et que les 2 autres déroulaient le papier."

VINCENT
Lundi 23 septembre, des scientifiques Malaisiens sont venus nous voir dans la classe avec Fabrice Krot. Ils voulaient nous voir travailler les séismes et les tremblement de terre avec un monsieur qui venait de Montrouge. A la maison des sciences, on fait des activités scientifiques par exemple fabriquer une balle rebondissante ou une fusée avec Fabrice Krot, Maude et Joelle.On a observé que les volcans et les séismes se manifestent là ou les plaques se rencontrent.

Samy : j’ai essayé de représenter la Terre pour travailler la géologie, le Soleil pour les volcans et la lune parce que ça tourne autour de la Terre.

YAHIA
Lundi 23 septembre, des scientifiques et chercheurs malaisiens sont venus en France pour regarder des enfants étudier les sciences. Ils voulaient rencontrer M.Krot qui est le directeur de la maison des sciences. Normalement ce n’est pas nous qui devions être observés mais une classe du collège mais leur professeur avait un empêchement alors la maîtresse avait accepté qu’ils viennent dans notre classe. A notre première leçon on avait découvert que les séismes étaient au croisement des plaques terrestres. Pour notre deuxième leçon, on a fabriqué une machine à mesurer les séismes : un sismographe. Les visiteurs ont pris des photos de nos schémas et du groupe. Moi j’ai trouvé que la séance à vraiment servi à quelque chose car on a appris à communiquer en anglais.

Aïda

RABIAA
Lundi 23 septembre, des scientifiques malaisiens sont venus dans notre classe voir comment nous travaillons . Normalement ils devaient aller dans une classe au collège , mais le professeur de la classe a eu un empêchement donc les malaisiens sont venus dans notre classe . Nous avons appris que les séismes se propagent quand deux plaques se frottent ou quand il y en a une au-dessus ou au- dessous de l’autre. A la fin, nous leurs avons demandé des petites phrases en anglais et ils nous ont répondu. Ça m’a beaucoup plu ,car c’est la première fois je voyais des malaisiens.

Claude

ELIA
Lundi 23 septembre, Fabrice est venu avec des Malaisiens à l’école. Il nous a donné des feuilles où il avait écrit un nouveau séisme en Indonésie. En Indonésie, il y a eu un séisme qui faisait 9,1 . C’était des scientifiques de Malaisie. Ils voulaient voir comment les élèves de France travaillent les sciences. Ensuite, on a pris un rouleau et on l’a découpé et on a fait bouger la table et on a vu que c’était un sismogramme qui était sur le papier. Les Malaisiens nous on pris en photo avec tout le groupe.

Elia : "le sismographe est réalisé avec un crayon suspendu à un fil. Il nous sert à savoir s’il y a un séisme".

TIDYANE
Fabrice Krot est venu à l’école lundi 23 septembre avec des scientifiques malaisiens pour venir nous voir travailler.
En premier, on avait compris qu’il y a des séismes quand les plaques se rencontrent.
A la deuxième leçon, les scientifiques nous ont fait faire un sismographe et un sismogramme.
Moi, j’ai bien aimé tout ça car on nous a montré comment faire un sismographe.

Merwan : "j’ai dessiné un sismographe. Il y a un crayon accroché à un bout de bois et dès qu’il y a un séisme, il se met à bouger. Plus le séisme est fort, plus le trait est élevé et plus le séisme est faible, plus le trait est droit. S’il n’y a pas de séisme, le stylo ne bouge pas."

SANJIV
Lundi 23 septembre, des scientifiques malaisiens sont venus dans notre classe pour nous voir travailler les sciences. Ils étaient invités par le directeur de la maison des sciences, Fabrice Krot.
On a travaillé sur les séismes. On a appris que si les plaques se rencontrent, ça fait un tremblement de terre puis la maîtresse nous a donné deux cartes. On a décalqué la première puis on l’a posée sur la deuxième. Fabrice nous a demandé comment on pouvait fabriquer un sismographe. On a pris un feutre qu’on a attaché à une ficelle ensuite deux élèves bougeaient la table.
Les visiteurs ont pris des photos ; la maîtresse a traduit en anglais tout ce que nous avons dit ensemble. C’était vraiment bien de travailler sur les séismes car dans mon pays, il y a des tsunamis alors j’ai compris comment ça démarre et comment on mesure leur force. En plus, j’ai bien aimé parler anglais avec les Malaisiens.

Vincent : "Voici les 4 scientifiques malaisiens en train de nous regarder. Les deux plaques, c’est le sismographe".

MAKA
Ce jour là , lundi 23 septembre, j’ai rencontré des scientifiques malaisiens venus de loin pour nous voir travailler. Ils sont venus avec Fabrice Krot, un des directeurs de la maison des sciences. A notre première séance, nous avions parlé des séismes. Fabrice nous a appris que si tu laisses un feutre accroché à une laisse, ça faisait un sismographe.
Nous étions heureux de les accueillir mais malheureusement, ils sont partis.

MERWAN
Lundi 23 septembre, des Malaisiens sont venus dans notre classe, accompagnés de Fabrice Krot pour nous regarder travailler sur les séismes. La première leçon que nous avions faite était sur les séismes. Avec Fabrice, nous avons construit un sismographe : une personne tenait un feutre et l’autre faisait trembler la table et ça faisait des formes géométriques sur la bande de papier.
J’ai bien aimé cette séance parce qu’on pouvait faire bouger les tables alors que normalement on n’a pas le droit.

Maka : "J’ai dessiné un sismographe qui mesure les séismes avec un stylo qui est juste en haut du papier et une table qu’on bouge pour faire croire que c’est un séisme".

WANIA
Lundi 23 septembre, des Malaisiens sont venus dans notre ville pour visiter la maison des sciences. Ensuite, ils sont venus dans notre classe pour observer comment nous travaillons. Fabrice, le directeur de la maison des sciences nous a fait un cours sur les séismes. Nous avions remarqué que les tremblements de terre et les volcans se manifestent là où les plaques se rencontrent. Fabrice nous a posé une question : comment garder une trace des tremblements de terre ?
Nous avons eu plusieurs idées mais une seule a collé, celle d’une élève. Son idée, c’était de tenir un feutre avec un fil au dessus d’un rouleau de papier qu’un élève déroulait. Un autre devait le tenir. Deux autres élèves secouaient la table. Ça a donné un sismogramme.
J’ai bien aimé ce cours parce qu’il était très intéressant. En plus, c’était amusant de parler anglais avec nos visiteurs.